Hier soir, vers 17 heures 30, après avoir pris quelques croquettes, elle est ressortie. On espérait qu'elle ait été enfermée chez notre voisin... Hélas non... Si vous voyez Inn, elle est tatouée, mais vous pouvez nous contacter ici.
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Hier soir, vers 17 heures 30, après avoir pris quelques croquettes, elle est ressortie. On espérait qu'elle ait été enfermée chez notre voisin... Hélas non... Si vous voyez Inn, elle est tatouée, mais vous pouvez nous contacter ici.
Samedi 19 avril, veille de pâques, deux rendez-vous à Aubigny :
- le matin, nous signerons "les grandes affaires criminelles du Cher" à la librairie maison de la presse rue du prieuré à Aubigny-sur-Nère.
- l'après-midi, à 16 heures, nous présenterons les crimes de la région d'Aubigny à la bibliothèque d'Aubingny-sur-Nère, place de la Résistance.
Jeudi 20 mars, nous avons évoqué les Grandes affaires criminelles du Cher au restaurant Le Marais à Plaimpied devant un groupe de Berruyers.
Hier seulement, nous avons reçu la profession de foi de la seule équipe qui se présente. Deux jours pour l'analyser, la décortiquer... c'est court mais largement suffisant tant fourmille le vide dans le détail.
Et pourtant ! Nous savons que le grand dada de la municipalité sortante auto-reconduite, c'est le commerce. C'est tellement évident, ce souci, qu'il n'y a aucun commerçant de commerce local dans l'équipe. Et on a décidé d'engager les fonds publics, qu'ils soient de collectivités locales, nationale ou européenne pour une boulangerie. A-t-on vu, dans la présentation sur le bulletin municipal annuel, d'étude de marché. Certes, un employé de la chambre de métiers a participé à une réunion. Mais pas d'étude de viabilité à l'horizon !
Et pourtant, l'intérêt de la commune n'est pas un bâtiment vide de plus au bout de deux ans. Mais un service supplémentaire.
Et pourtant, nous avons vu la grande efficacité dans les projets : une étude fort onéreuse en vue d'un remembrement est passée à la trappe.
Quant au bien vivre, certes, le bourg a été réhabilité. Avec un aménagement du haut tel que la commune est dans le paradoxe : tous les lieux où l'on doit concentrer le stationnement de véhicules sont dans le haut : église, salle des fêtes, salle de réunions, mairie et école. Dans l'aménagement précité, qu'a-t-on fait en ce lieu ? divisé le nombre de places de parc auto ! Résultat, une totale anarchie dans le stationnement automobile à chaque manifestation.
Certes, il peut être argué que ce sont les services techniques qui l'on proposé. Mais c'est le conseil qui l'a accepté. Et qui est donc responsable de la mauvaise gestion de l'urbanisme.
Alors que conclure ? Qu'avec une telle gestion à vue de nez, il est grand temps que les communes disparaissent au profit des communautés de communes qui auront une manière moins infantile et plus rigoureuse pour aborder la gestion publique.
Pour respecter la législation, les commentaires de cette page seront fermés de ce soir, 21 mars à 21 heures au dimanche 23 mars, 20 heures.
Ce n'est pas un canard qui nous a envoyés...
en mission !
Pourtant l'atmosphère se promettait d'être fraîche...
très fraîche...
très, très fraîche.
Quittons notre stationnement.
La vérité ne sera pas avant le Puy,
ni dans le Puy,
ni sur le Puy...
Et finalement on est sorti de l'auberge... rouge.
Après une trève hivernale bien méritée (?), nous continuons à vous rencontrer :
- à Châteaumeillant, librairie - Maison de la Presse Dumont, le vendredi 7 mars de 9 heures et demi à midi ;
- et à La Chapelle-Saint-Ursin le jeudi 20 mars dans le cadre d'une causerie.
Très heureux de vous retrouver.
Quand va-t-il arriver ?
Une longue longue attente (Paroles d'Edgard Faure)
une attente épuisante...
Vive le Baron Bich. Nous sommes nombreux à savoir que cet aristocrate est le personnage qui a créé les produits à l’image de XXème siècle. C’est lui qui a lancé l’objet jetable dans divers domaines. Certes et heureusement, l’esprit de ce siècle s’efface pour le recyclage. Mais convenons tout de même que l’invention du stylo a été une grande avancée pour les générations d’enfants qui se sont succédées à l’apprentissage de l’écriture. Il est loin le temps des buvards glissant sur la feuille et des taches partout… jusque dans le dos des enseignants !
Un outil de la démocratie locale
Mais si nous rendons hommage à cet industriel, c’est à cause de son apport majeur pour la démocratie locale. Dans un isoloir, c’est beaucoup plus facile de rayer des noms sur les bulletins de vote. Là, il s’agit des petites communes puisque nos citadins n’ont pas la lourde tâche de pouvoir éliminer ceux qui n’ont pas la capacité, n’ont plus la force, n’ont plus la vision, se sont dévoués malgré leur manque d’envie…
Que de gens providentiels dans nos petites communes
Il faut se souvenir d’il y a treize ans. La télévision régionale était venue en Sancerrois et avait constaté que beaucoup de maires de soixante-dix ans et plus auraient bien aimé continuer mais étaient exténués. Parmi ceux-ci, s’était exprimé le nôtre qui affichait pourtant tout juste sa soixantaine triomphante. Il arguait du fait que les habitants étaient difficiles à satisfaire. Mais, finalement, « sur l’amicale pression de ses proches », il s’était dévoué… pour ne pas être élu au premier tour et abandonner au second. Comme quoi, finalement, les habitants l’ont satisfait.
Les maires protestent
Nous avons vu des maires demander la prolongation de leur bail dans leur mairie. Mais, si l’on en croit la Voix du Sancerrois qui est un hebdomadaire bien informé, au mois de décembre dernier, certains d’entre eux ont protesté contre la nouvelle organisation scolaire, jugeant qu’elle n’était pas applicable par nos communes. Un jeune maire a pris la tête de cette insurrection tandis qu’une fringante élue proposait même d’organiser une manifestation.
Il est hors de question d’accuser ces élus d’avoir une attitude politique, de préférer l’intérêt électoraliste de leur parti politique s’il en ont un. Ce serait mesquin de leur part d’avoir une telle préférence alors que l’avenir de nos enfants avait été envisagé par l’ancienne majorité et qu’il a été mis en place par la nouvelle. Certains maires ont réussi. Eux ne pourront pas, disent-ils ? Alors, le plus raisonnable, c’est de les aider à retourner à leur charrue comme Cincinnatus, le dictateur de la République de Rome.