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Le Net n'a pas inventé la calomnie avant il y avait radio bistrot et avant encore Beaumarchais...

La calomnie, Monsieur, vous ne savez guère ce que vous dédaignez ; j'ai vu de nobles gens près d'en être accablés.

Croyez qu'il n'y a pas de plate méchanceté, pas d'horreur, pas de conte absurde qu'on ne fasse adopter aux oisifs d'une grande ville en s'y prenant bien : et nous avons ici des gens d'une adresse !

Il y a aussi Voltaire : mentez, mentez mes amis, il en restera toujours quelque chose.

Pourquoi citer ces auteurs ?

Tuons tout de suite le qualificatif de complotisme concernant les propos qui vont suivre. Et donnons ce qu'est ce mal français qui va nous préoccuper ici : le corporatisme. Et de cette entraide bienveillante et bénéfique pour notre société, constatons la dérive, le soutien illicite. Et ça, pas besoin de se focaliser sur les loges, les synagogues. On en trouve dans les chapelles, les temples, les cabanes de chasse, les vestiaires de sport, les amicales d'anciens, les familles... Bref partout...

Parce que rien n'a changé à l'époque des Fake news. Et dans les petits villages, comme sur la toile, on peut faire beaucoup de mal. Et c'est par la calomnie et ses vecteurs, quels qu'ils soient, qu'on peut détruire quelqu'un. "Qui diable y résisterait ?" Comme se termine la tirade de Beaumarchais.

Pour être plus précis, je dois remonter à une trentaine d'années. Et cela, nous le verrons dans un prochain article.

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